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FG retranscrit les notes d'un député fort critique face au peu de pouvoir du gouvernement... et annonce en guise de chute qu'il s'agit de propos tenus en son temps par Victor Hugo... Quelques remarques, notées au fil des jours par un député. « Régime plat et violent. On n'a même pas le plaisir d'être opprimé par quelque chose de grand. » « Le cabinet est pauvre, chétif, déconsidéré, ébranlé, impuissant, nul. On se demande avec anxiété : que va-t-il arriver ? Quand rien ne sort du pouvoir, quelque chose sort du pays. »
Réflexions sur le régime Dans les couloirs du Palais, des coups s'échangent, des fers croisent, des chausse-trapes se tendent, des têtes vacillent sur leur col, d'autres repoussent, que l'on croyait tombées. Tandis que la France, querelleuse, méfiante, ou indifférente après une grève générale bien particulière, oublie le notaire de Bruay, pense à ses vacances et interroge le ciel — Quel temps fera-t-il dimanche? Tiens, c'est le 18 juin... — le Paris politique est tout bruissant de rumeurs.
Sur le débat de la veille entre Debré et Mitterrand Le spectacle, c'est vrai, est usé. Le cérémonial, trop connu. Les acteurs trop avertis des pièges du duel télévisé qui se nomme « A armes égales » pour garder quelque fraîcheur.
Critique virulente de la tendance manichéenne des grands partis en lice pour les prochaines élections : parti majoritaire et le PC. FG invite à s'interroger plus précisément sur les besoins de la société et les moyens de résoudre ses problèmes, en rejetan
Corruption gouvernementale Cette odeur de pourriture qui monte des poubelles de la majorité, au fur et à mesure qu'elles se vident, elle est suffocante à la fin. Du gaullisme immobilier aux facéties fiscales d'un Premier ministre, des liens intimes entre service public et affaires privées aux députés des bordels, on ne se demande même plus qui a cessé d'être respectable dans le personnel politique et la haute administration française. Mais qui l'est encore. Et personne n'a lieu de s'en réjouir, même si, dans l'instant, on s'en divertit.
Avec une pointe de condescendance, critique l'allocution télévisée du Premier ministre, Pierre Mesmer. A ses yeux, la majorité est en situation de faiblesse. Ce n'est pas seulement qu'ils font des bêtises. C'est qu'ils ne paraissent plus pouvoir faire autre chose. Ainsi l'affable M. Messmer a-t-il sombré, mercredi, dans l'océan du ridicule, bien qu'il ait le pied marin, et que sa propre mère ait été mobilisée pour nous dire quel bon petit c'était, notre Premier ministre.
L'Express poursuivi par Jacques Chirac pour diffamation suite à la publication d'un article de Jacques Deroguy sur l'affaire Dega. FG pointe toutes les incohérences du dossier.
FG décrit l'échiquier politique français, opposant le PCF et l'UDR, dont elle dénonce les assimilations grotesques et les discours caricaturaux.
A la veille des élections, FG accuse avec ironie Alain Peyrefitte de faire le jeu du P.C. En le dénonçant en permanence. Prend le parti de François Mitterrand qui soutient un programme réformateur ambitieux mais possible.
Au lendemain du premier tour des élections législatives, FG fait état de la déception des électeurs de gauche face au mauvais score du parti socialiste. Se veut rassurante. Rappelle que la prochaine élection sera une élection présidentielle.