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Critique le romantisme révolutionnaire de son interlocuteur. Engage à construire, sans démolir et ainsi participer à l'édification de la nation.
Impossibilité technique à retransmettre les débats de l'Assemblée, … en raison de l'image négative que produiraient la vision des parlementairesen réunion de travail. Indiscipline, négligence professionnelle... portrait sombre des parlementaires. « Il n'y
Prochaine élection législative, état des lieux sur le système électorale, en dévoile ses rouages. Une représentation proportionnelle en faveur des grands partis.
Sur le vote des femmes. Leur poids dans la société. Compare morale de gauche et morale de droite (caricaturale)
Décrit l'irruption dans les bureaux de L'Express, d'un jeune militaire venu dénoncé les atrocités commises en Algérie. Explique ne pouvoir reproduire dans ces colonnes ce qu'il a raconté. Un soleil affectueux perce les vitres. Une jeune secrétaire rêve en feuilletant un magazine... L'atmosphère est légère, détendue. Les garçons sont aimables, les filles ont des blouses fraîches. L'une d'elles raconte, scandalisée, sa visite au « Club James Dean ». A la « une » de « France-soir », que l'on apporte, Rainier et Grâce de Monaco sourient.
Critique le flou de la situation gouvernementale Il n'y a plus de gouvernement », s'est écrié M. P.-H. Teitgen au cours du débat nocturne où se discutait l'extension des pouvoirs spéciaux à la Métropole. Ce qui tendrait à prouver que l'honorable parlementaire est incomplètement informé. Non seulement il y avait ce jour-là un gouvernement, mais il y en avait deux : celui de M. Bourgès et celui de M. Maunoury.
Guerre d'Algérie : réfléchit avec humour et cynisme sur ce que signifie la paix Si les trois hommes qui m'ont torturée étaient un jour inquiétés, et sonnaient chez moi, je les hébergerais de la même façon... » Cette petite phrase, prononcée à l'audience par Mme Gautron, l'une des inculpées du procès des libéraux d'Alger accusée d'avoir donné asile à des musulmans, il fallait qu'elle fût dite. N'est-il pas beau que, dans la confusion des esprits et des cœurs, le fil d'or de la conduite individuelle puisse encore briller ?
Critique virulente des ministres de la Ivème République (reprend M. Gaillard sur les informations erronées qu'il a transmises par voie de radio. Montrant qu'il n'ait que peu au fait de la situation économique des Français).
Torture subie par Djamila Bouhired, alors même que les pouvoirs publics niaient y avoir recourt. Que vont-ils penser, ces millions de lecteurs, en apprenant de plumes autorisées et parfois vibrantes d'indignation que dans les geôles d'Alger une jeune fille de vingt-deux ans, Djamila Bouhired, condamnée à mort pour un attentat qu'elle n'a pas commis, a été torturée par des officiers français ?
Budget de la guerre en France En voulez-vous, de cette guerre ? — Qu'est-ce qu'elle me coûtera cette année ? — Dans les 800 milliards. — Elle me plaît assez, mais pas à ce prix-là. Vous ne pouvez pas faire un effort ? — Adressez-vous ailleurs. — Par ici, monsieur, par ici... Nous avons une très bonne guerre à vous proposer. En fait, c'est la même, mais la maison est jeune, dynamique... Alors chez nous vous ne la paierez que 150 milliards. D'accord ? — Vous, au moins, vous êtes raisonnable...