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FG applaudit la participation de M. Foyer, député UDR au vote de la loi pour la reconnaissance aux enfants bâtards de droits identiques aux enfants légitimes. FG s'interroge sur un possible changement de vision face au patrimoine.
Ironise sur M. Rives-Henrys, dénonciation de la corruption Les gens que l'on ne sollicite jamais pour qu'ils appartiennent à un conseil d'administration ne connaissent pas leur chance. Car on accepte ces choses-là comme ça, pour rendre service, ou pour nourrir sa famille, et puis crac... on retrouve son nom lié à celui de bien étranges personnes. Ainsi de M. Rives-Henrys, qui manque décidément de discernement dans le choix de ses relations, bien qu'il soit, par profession, directeur de relations publiques.
Sur la clairvoyance de l'opinion publique et le bien fondé de son irritation face au gvt L'immense majorité des Français n'a jamais vu un gramme d'héroïne. La plupart des lycéens sont de braves petits. L'automobile ne tue, en France, que quinze mille personnes par an. Pourcentage faible par rapport au nombre de personnes, conducteurs et passagers, qui se déplacent en
Alors que certains critiquent la dimension irréaliste du programme du PC et du parti socialiste, FG rappelle qu'ils ne sont pas propres à être mis en application mais à recueillir les voix de ceux qui se détournent du pouvoir en place. Cependant, elle reg Les personnes qui savent compter reprochent au programme du Parti communiste et à celui du Parti socialiste d'être irréalisables, donc irréalistes. Vain reproche, puisqu'il suppose que ces programmes sont destinés à passer dans les faits.
Au coeur de l'affaire Dega, FG compare la réaction d'hommes politiques américains, anglais et français face à la révélation de leurs revenus. Elle ironise ainsi sur le comportement du Premier ministre, Jacques Chaban-Delmas, prisant peu la transparence.
Giscard d'Estaing, ministre des Finances, interrogé par des journalistes sur la Une, évoquait les règles de la fiscalité, semble-t-il pour venir en aide au Premier ministre (voir édito du n°1062). FG ironise sur le peu de cas que semblèrent faire les jour
Sur l'incapacité des partis de l'opposition à rester crédibles, faisant ainsi le jeu de Pompidou M. Pompidou serait en ce moment, dit-on, au comble de l'amusement. On peut le comprendre. Que voit-il, en effet ? A sa gauche, le Parti communiste, devenu champion de l'expansion économique sauvage par opposition aux visées planificatrices de M. Mansholt, président socialiste de la Commission de Bruxelles. Mué soudain en rempart de la souveraineté nationale, et allez donc, enfants de la patrie, vous rhabiller si vous croyez que vous êtes membres de la IIIe Internationale.
FG exprime son agacement face aux listes préparées pour le référendum sur l'Europe et composées d'une série de célébrités. Elles sembleraient suggérer que les personnes connues sont mieux placées que d'autres pour donner leur avis. FG réaffirme alors son
André Diligent, sénateur vient de rendre un rapport sur la télévision mettant en cause la gestion de l'ORTF, dirigée par Jean-Jacques de Bresson (pdg). On voudrait que quelqu'un apparaisse sur le petit écran, et dise froidement : « Eh bien, oui, ce qui m'intéresse, moi, c'est l'argent ! Que voulez-vous, j'ai des frais. Votre télévision, je m'en moque. Votre moralité, je n'ai rien à en faire.
FG ironise sur les capacités du Président à modifier réellement son gouvernement en cas de blocages. Fg s'interroge sur une prochaine révolte populaire l'obligeant à changer. On prête à M. Pompidou ce propos, tenu en d'autres temps : à quoi bon résoudre les problèmes, puisque les solutions font naître de nouveaux problèmes... L'esprit en est bien conforme à ce que l'on voit, aujourd'hui, de sa démarche.