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Réflexions sur la stature de la vedette « ce sont d'étranges animaux qui se nourrissent exclusivement d'applaudissements et de demandes d'autographes. » Eh bien ! ça n'est pas toujours drôle la vie d'artiste, quoi qu'un vain peuple pense ! « On diffame entre guillemets et on se retrouve én correctionnelle comme tout le monde et comme Sacha On a des petits ennuis avec les autorités d'immigration et on se retrouve à Ellis Island comme tout le monde et comme Charles Trenet, le fou chantant. C'est insensé.
Festival de Deauville (décrit avec humour) Voulez-vous de la duchesse ? De la vedette ? De la petite femme ? Ou du millionnaire (en dollars, bien entendu) ? Nous avons tout cela, et beaucoup mieux encore. Deauville est peut-être le dernier endroit à la mode où l'on rencontre encore ce que l'on appelait autrefois des « gens du monde » sans préciser lequel. Nous avons de tout, en blanc et en couleur, en Anglais, en Danois, en Argentin, et même en Français. Pourquoi va t-on à Deauville l'été ? Pour rencontrer les gens que l'on voit à Paris et à Cannes l'hiver.
Réflexions sur le succès que rencontre le récit des liaisons entre vedettes, et montre que les révélations fournies par un hebdomadaire (non cité) à ce propos sont pour certaines erronnées. UNE PAGE D'HISTOIRES
Condamnation en jugement de la société Pathé à verser dommages et intérêts à Prévert et Carné, dont le film Les Enfants du paradis possédaient des coupures qui le défiguraient. Loue cette décision et critique les grandes société cinématographiques qui sou Combien, cette laitue ? 30 francs ? Bon ! Je paye et j'ai le droit de la manger braisée, en salade, ou de la porter en boutonnière. Combien, ce scénario, monsieur Prévert?... Combien, cette mise en scène, monsieur Carné ?... Bon ! Je paye. Et j'ai le droit de faire de votre film des petits pâtés.
Autour de la nostalgie des temps passés (première partie du siècle), engage ses contemporains à ne pas voir leur époque à travers les lunettes déformantes de la peur Nostalgie ?... Ou manque d'imagination ?... Le mois de mai se place sous le signe d'un réchauffé ; à l'exception de la température, naturellement. Et dans un grand attendrissement général, on évoque « la belle époque » au théâtre, où la troupe du Français joue « Le Roi », où Pierre Dux joue « Les Vignes du Seigneur », où la compagnie Grenier - Hussenot joue « Les Gaietés de l'Escadron ».
Sur la création de l'académie française du cinéma Nous y arrivons, nous y sommes... Dans quelques semaines, l'Académie française du Cinéma doit recevoir existence officielle par décret publié au journal du même nom, et déjà les listes circulent.. Les nouveaux académiciens seront quarante. Un chiffre qui a fait ses preuves. Personne, sauf peut-être le concierge du quai Conti, n'est capable de citer plus de quinze membres de l'Académie française, mais ils sont tout de même quarante depuis 1635, et assez fiers de l'être.
Critique les pièces théâtrales et quelques films du moment Rire ? Pleurer ? Trépigner ? Hurler ? Frémir ? Dormir ? Nous pouvons cette semaine vous proposer tout cela à Paris, dans un fauteuil. Un fauteuil de théâtre, ou de cinéma. Un Français, une Suédoise, une métisse, un Américain et un Anglais s'en chargeront. Pour RIRE, il faut aller voir « Nina ». M. André Roussin, qui a la tête de monsieur Tout-le-monde, du talent comme personne, trois pièces sur scène et une en répétition, est un bienfaiteur de l'humanité.