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L'affaire Cri-cri, la mort d'une fillette de 16 ans, un homme accusé du meurtre de sa maîtresse, deux autres meutres... Ce grand journal du soir dans lequel j'allais envelopper les boîtes de cachets contre la grippe, les bouteilles de sirop contre la toux, les flacons de gouttes contre le rhume et tout l'arsenal de ces remèdes auxquels personne ne croit mais que tout le monde absorbe depuis huit jours, ce grand journal du soir, la pharmacienne me l'a arraché des mains.
Récit de trois meurtres sordides LA VIE EN ROSE
Par Françoise G1R0UD
Après la semaine qui vient de se dérouler aux 2 assises et en correctionnelle ce pauvre Zola prend l'allure d'un auteur badin et François Mauriac fait la pige à la comtesse de Ségur. Thérèse Raquin ? Une poupée. La Bête humaine ? Un sansonnet. Nana ? Une vierge. Les RougonMacquart ? Des Farfeluts
Ironise sur l'excuse de la police concernant la non arrestation de Pierrot le fou, faute d'indicateurs. D'où vient la crise ? Car, tout le monde vous le dira, il y a une crise. On manque de plus en plus, on manque gravement d'indicateurs. Et, en toute simplicité, la police avoue — c'est bien son tour — que si Pierrot le Fou (bis) n'est pas arrêté, c'est parce que personne n'est venu confier discrètement aux policiers où ils pouvaient le trouver. Pas si fous que ça, les Pierrots !
L'histoire vraie de deux médecins criminels, à l'hôpital d'Autun JUIN 1948 : M. Fougerat se présente à l'hôpital d'Autun où il est reçu par le docteur Sautter, chirurgien chef : — Docteur, Je ne me sens pas très bien... J'ai mal à l'estomac... — Vraiment ? Nous allons arranger ça. Voilà qui est fait. Au revoir monsieur, à la prochaine. Juillet 1948: M. Fougerat se présente chez un autre médecin de la ville. — Docteur, je ne me sens pas bien. J'ai mal à l'estomac — Vraiment? Vous m'étonnez. Vous n'avez plus d'estomac
Imagine le destin du fils d'un meutrier en série, Roger Cassiot LES PARENTS TERRIBLES
par Françoise GIROUD
Réflexions sur l'important stock d'armes possédé par les citoyens français et la propension de certains à se faire justice eux-mêmes car ils ne croient pas à la justrice Alors, enfants de la Patrie, vous ne voulez pas rendre votre poudre et vos balles ? Quatre cents dépôts d'armes ont été découverts depuis quatre ans. On trouve des mitraillettes dans le placard de la direction des pompes funèbres de Toulouse. Comme si ce service n'avait pas assez de clients et qu'il voulût encore en fabriquer.
Incendie d'une institution privée qui hébergeait des enfants handicapés mentaux => lui permet d'évoquer la situation dans laquelle se trouve les enfants handicapés mentaux en France. Manque de moyens patent. Appelle à une prise de conscience sur ce point. En parler ? Quoi que l'on dise, on est assuré de blesser. N'en pas parler ? C'est une autre façon de blesser. Une sorte de fuite devant le malheur des autres, le seul auquel il soit interdit de se résigner.