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Réflexion sur l'impopularité du champion de cyclisme Jacques Anquetil. C'est quelqu'un, Jacques Anquetil. Ecrire tranquillement que tous les coureurs professionnels absorbent des stimulants et que, s'il a perdu le Tour d'Italie en 1967, c'est faute d'avoir mis le prix pour acheter les coureurs d'une autre marque qui l'eussent aidé, c'est le fait d'un homme libre. Il y en a si peu que, lorsque l'un d'eux passe, fût-ce sur un vélo, il faut le saluer.
Décrypte le rapport des femmes au rugby, avec son jargon si particulier. Note une évolution de leur participation. Cependant, s'interroge sur le bien fondé de certains commentaires sportifs qui donnent dans la métaphore guerrière... Ce fut un grand moment. Quatre-vingt-dix minutes devant un poste de télévision, c'est long. Mais on en eût supporté bien davantage. Tout y était : le style, la classe, le sang-froid, le courage, parfois un peu de ce génie français de l'improvisation, l'illusion de la victoire possible... Quel spectacle !
Réagit face à la polémique déclenchée par les propos du président du Comité International Olympique qui met trop en relief les relations entre sport et argent. Il y a quelque chose de comique dans le fait que le président du Comité International Olympique, M. Avery Brundage, soit américain.
Revient sur le match de boxe qui a opposé Cassius Clay à Joe Frazier récemment. Analyse la défaite de Cassius Clay, l'invaincu. Deux boxeurs noirs se sont battus. Le meilleur a gagné. C'est peu de chose, en vérité. Mais la mythologie était, ce soir-là, au rendez-vous. Et le match qui a opposé, la semaine dernière, Cassius Clay à Joe Frazier en a pris de bout en bout la dimension d'un grand spectacle tragique.
Sur la victoire de Poulidor L'événement de la semaine écoulée est tout à fait considérable, chacun l'a compris. Dès 5 heures, jeudi, on en vibrait partout où la nouvelle était déjà connue. Le président de la République venait de nous annoncer qu'étant aux Affaires depuis dix ans, s'y trouvant bien, et jugeant en toute objectivité que les Français s'en trouvent bien aussi, il se disposait à y rester encore onze ans.
Éloge du football, amour développé à l'occasion de la Coupe du monde.