Pour éviter les interférences entre finance et communication, la ministre suggère un conseil de surveillance pour chaque chaîne privée. Qui peut y croire?
la vie à Matignon, c'est le bagne. Mais avec ce sentiment qu'ils ont tous d'être au service de la nation, les bagnards jouissent de leur bagne, du Premier ministre aux téléphonistes. F. G.
Jeudi, février 19, 1998
Le Nouvel Observateur