une splendeur de quatre heures, massacrée en son temps, 1978, par la critique et l'odieux public de Cannes. Arte l'a ressuscité. Bravo.
Jeudi, janvier 9, 1997
Le Nouvel Observateur
une splendeur de quatre heures, massacrée en son temps, 1978, par la critique et l'odieux public de Cannes. Arte l'a ressuscité. Bravo.