Presse et pouvoir sont inséparables, condamnés à une coexistence hargneuse. Faut-il le regretter?
la presse est muselée. Aucun danger de la voir se dévergonder. Aux lecteurs de savoir ce qu'ils préfèrent. (France 2.) F. G.
Jeudi, juin 3, 1999
Le Nouvel Observateur